Ainsi, les trois ministres insistent sur le fait qu’elles prennent "très au sérieux les préoccupations des habitants des régions frontalières concernées relatives à la sûreté des centrales nucléaires françaises situées à proximité des frontières avec l’Allemagne et le Luxembourg". Elles demandent à la ministre Ségolène Royal de tenir compte de ces préoccupations et de ne pas s’engager en faveur d’une nouvelle prorogation.
Compte tenu du fait que les discussions actuelles en relation avec la mise en œuvre de la loi française relative à la transition énergétique auront des implications concrètes sur le calendrier et les critères de fermeture des centrales nucléaires, les trois ministres proposent à la ministre Ségolène Royal d’approfondir le sujet à l’occasion d’une réunion conjointe future.