Lydia Mutsch, lance le 1er congrès international sur la contamination environnementale globale et sur les futurs défis pour le bien-être du cerveau humain

©-MiSa, MSAN  Lyadia Mutsch avec des conférenciers , Lydia Mutsch avec des conférenciers
Lyadia Mutsch avec des conférenciers , Lydia Mutsch avec des conférenciers
-Lyadia Mutsch avec des conférenciers

La ministre de la Santé, Lydia Mutsch, a présidé le premier congrès international en neurologie environnementale intitulé  "Global Environmental contamination – Challenges for the Well-being of the Human Brain" qui s’est déroulé du 7 au 10 septembre 2014 au centre de conférences Kirchberg. Le congrès fut co-organisé par la Division de la santé au travail de la Direction de la santé avec les universités de Liège, de Lorraine et de Luxembourg, le CRP Gabriel Lippmann et l’association Akut asbl. Des conférenciers de renommée, en provenance de 16 nations différentes, dont les États-Unis et le Canada, l’Algérie et le Maroc, la Russie, l’Équateur et l’Albanie ainsi que de nombreux pays européens, ont été garants de la haute qualité scientifique de cette manifestation. 

Dans son discours, la ministre de la Santé a mis l’accent sur les limites de la médecine classique face au fléau émergent des maladies neurodégénératives qu’on qualifie souvent de maladies ‘de civilisation’, en raison de leur relation avec des expositions chroniques à faible doses à une multitude d’agents chimiques. Ces expositions se font à travers  la nutrition, la pollution de l’air extérieur et de l’air intérieur (au domicile ou au lieu de travail).

Selon la ministre il faudrait reconsidérer et réorienter la recherche scientifique, adapter les traitements en développant des traitements étiologiques (au lieu de se limiter au soulagement des symptômes) et favoriser une prévention sanitaire dans le respect du principe de précaution.

Vu le succès indiscutable de cette première édition, l’Algérie et le Maroc (2016), la Russie (2018) ainsi que le Canada ont manifesté d’ores et déjà leur intérêt à organiser les prochaines conférences sur le même sujet.

Communiqué par le ministère de la Santé

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