Octobre rose: Tous solidaires contre le cancer du sein

Le cancer du sein est le cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez les femmes dans le monde, et la lutte contre le cancer du sein, nous le savons, se décline en de multiples facettes. Au Luxembourg, plus de 500 nouveaux cas de cancer du sein sont détectés chaque année – cela concerne plus d'une femme par jour!

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    La ministre de la Santé Paulette Lenert et le directeur de la santé Jean-Claude Schmit avec leurs collaborateurs

Connu traditionnellement comme "octobre rose" plusieurs manifestations sont organisées au cours du mois d'octobre, mois dédié à la sensibilisation au cancer du sein, dans le respect des mesures établies dans le contexte de la pandémie COVID-19.

Pour marquer sa solidarité avec les femmes dans leur lutte contre le cancer du sein ou de sa récidive, la Direction de la santé distribue des masques roses à toutes les femmes ayant réalisé une mammographie via le Programme mammographie de la Direction de la santé au cours du mois d'octobre. Ces masques peuvent ensuite être décorés de manière créative et unique, photographiés et affichés sur les médias sociaux avec l'hashtag #pinkoctober2020LU.

La prévention avant tout

Plus le cancer est détecté précocement, plus les chances de guérison augmentent et moins la thérapie est lourde. C'est pourquoi le dépistage proposé par le Programme mammographie de la Direction de la santé est important. Au Luxembourg, environ 32.000 femmes, âgées entre 50 et 70 ans, sont invitées annuellement à participer à un examen de dépistage organisé; près de 18.400 femmes acceptent de se faire dépister.

Le dépistage du cancer du sein est essentiel pour les femmes âgées de 50 à 70 ans. Au cours des 28 dernières années, le Programme mammographie a activement sensibilisé et encouragé les femmes invitées à se faire dépister afin d'accroître le dépistage précoce du cancer du sein. Nous tenons à souligner l'importance de continuer à se faire dépister malgré la pandémie actuelle.

Chez 8.7 femmes sur 1.000 le cancer peut être détecté à un stade précoce. En général, les cancers dépistés à un stade précoce peuvent être mieux traités que les cancers diagnostiqués à un stade ultérieur.

Comme le souligne la ministre de la Santé, Paulette Lenert: "Pour les femmes, et leur famille, qui doivent malgré tout affronter cette épreuve du cancer, nous soutenons toutes les initiatives leur permettant d'en sortir gagnantes. Il est essentiel que les femmes soient rassurées et sachent qu'elles sont entre de bonnes mains!".

 

Communiqué par le ministère de la Santé

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