En date du 2 décembre 2015, la Division de la médecine scolaire du ministère de la Santé a organisé la 4e journée nationale de la santé scolaire.
Lors de cette journée, les problèmes multiples de la santé et du bien-être des enfants ont été thématisés: de l’enfant épileptique et du retrait relationnel de l’enfant, en passant par le syndrome TDAH, aux problèmes liés à la pédiatrie sociale ou encore à la pauvreté des enfants.
En effet, la santé est notre capital le plus précieux. Préserver la santé des enfants, détecter de manière précoce d’éventuels risques et traiter de manière optimale les maladies dès le plus jeune âge, entraîne autant de répercussions positives sur notre société de demain, aussi bien au niveau de la santé publique qu’au niveau socio-économique.
Experts de la santé, spécialistes des sciences sociales et économistes sont d’ailleurs unanimes en la matière: investir dans l’enfance, dans la santé et le bien-être des plus jeunes signifie aussi investir dans la santé publique en général, et a des répercussions plus que positives sur la prospérité de notre société de demain.
Qui mieux peut illustrer l’importance à accorder à la santé des jeunes que les enfants eux-mêmes? Événement surprise, le spectacle dynamique "Et ass net gehoppst wéi gesprongen!" présenté par une cinquantaine d’enfants de 4 à 12 ans, ainsi que par deux adolescents en pleine forme, venant de différents foyers d’accueil pour demandeurs de protection internationale de la Croix-Rouge luxembourgeoise, a remporté un vif succès auprès du public composé de professionnels de l’éducation et de la santé.
À cette journée ont participé entre autres, les équipes de la médecine scolaire, médecins spécialistes en médecine scolaire, enseignants, psychologues, ainsi que représentants des SPOS et de l’éducation différenciée, des ministères et des associations engagées dans le travail avec des jeunes. Cette audience très large souligne d’ailleurs la volonté d’une collaboration étroite entre les différents acteurs concernés par la thématique de la santé scolaire.
Communiqué par le ministère de la Santé